lundi 26 février 2018

Le premier cours de sport depuis la rupture


Lundi matin.
Premier jour où je retourne au sport, depuis ma blessure, et surtout depuis la rupture
La veille, j’apprenais que Charles-Henri m’avait menti sur toute la ligne.
Autant dire que j’allais au sport avec plus d’un mois de rage à évacuer.
Mais aussi beaucoup, beaucoup d’appréhension, d'autant plus que deux jours avant de me larguer, Charles-Henri venait à la salle avec moi, me laissait entendre que peut-être qu’il s’abonnerait, et je gazouillais à ma prof de sport « Oui, c’est mon mec ! Depuis le temps que je désespérais de trouver un mec bien ! », alors que ce fumier envisageait déjà de me quitter. Et pour ce que j'en sais, peut-être qu'il s'envoyait déjà l'autre gonzesse.

vendredi 23 février 2018

mardi 20 février 2018

J'habite nulle part, j'habite partout #4 : J'habite chez moi. (enfin)

Les précédents L'épopée :

Finalement beaucoup plus tôt que prévu, j'ai retrouvé un environnement à peu près vivable.
J’ai passé la première nuit chez moi, j’ai tenu le coup, il n’y avait donc pas de raisons que je continue à dormir ailleurs. J’ai toutefois rempli mon agenda pour passer chaque soir avec des gens, pour ne pas être trop seule, pour reprendre ma vie en main de façon progressive.

Et ça a été.

mercredi 14 février 2018

Charles-Henri : Le mot de la fin

Nous sommes le 14 janvier. [oui, j'ai un mois de retard]
Une scène ordinaire : je suis au restaurant avec Sharon, qui me demande de lui raconter ce qu’il s’est passé, au juste, entre Charles-Henri et moi.

Sharon : Non parce que moi je n’ai rien compris, Teddy me dit, il y a plus de trois semaines : « Charles-Henri va venir manger à la maison avec sa copine », j’ai donc dit « Ah, chouette, Mademoiselle B. va venir ? ». Et Teddy de me dire « Non, ils ne sont plus ensembles ».
Moi : Quoi ?! Il a une copine ??

vendredi 2 février 2018

Survivre à la rupture, Acte 2 : Bibliographie

Précédent : Survivre à la rupture, Acte 1 : La première urgence

Ces quelques références (non exhaustives) m’ont aidés à aller un peu moins mal, ou au moins à m’accrocher à quelque chose pour sortir un petit peu la tête de l’eau.