Je suis chez mes parents, je suis moi... Mais j'ignore à quel âge. Je suis seule à la maison, et il y a le beau-fils de mon père adoptif qui est là. Je fais la cuisine, je nettoie des choses, je vais à la salle de bain... Il me suit partout. Il se colle à moi. Me fait des compliments. Me caresse. Je suis terrorisée, en colère, désemparée. Je ne sais comment réagir. Je ne sais comment le repousser. Je suis prise au piège.
Il insiste, il me pousse.
Je finirai allongée sur le dos sur mon lit, à le laisser faire, les larmes aux yeux, priant pour que ça passe le plus vite possible et que ça ne se reproduise jamais.
Je me réveille avec une folle envie de vomir.
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Du feu. Du feu partout. Ma maison brule. La ville brule. Le monde est en train de bruler, et je l'observe être réduit en cendres.
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Isaac me dit que je ne suis qu'une distraction, qu'il me faut rester à ma place, et que je n'ai de toute façon rien à lui apporter, rien à apporter à qui que ce soit
Le lendemain, je referai le même rêve, sauf qu'il sera avec Victoria, qui me dira la même chose, ajoutant "Tu n'es personne, tu ne m'arriveras jamais à la cheville".
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Je suis à la campagne. Une fillette court dans l'herbe, vers moi, en riant. Elle respire la joie de vivre, et a de jolies boucles dorées qui bondissent de chaque coté de son visage rond. Elle est magnifique.
Je me sens bien, sereine, heureuse ; le moment est d'une perfection totale.
Le rêve est extrêmement réaliste.
Je crois que j'ai rêvé de ma fille.
Certains rêves sont plus jolis que d'autres... le dernier, il se réalisera (aussi? ).
RépondreSupprimerPuisses-tu avoir raison.
SupprimerJe me plais à croire à un rêve prémonitoire.
Mais peut-être que c'est juste pour me rassurer… Ou une émanation de mon horloge biologique qui me torture viscéralement en ce moment.
Nous verrons...