lundi 30 octobre 2017

Ecoute tes émotions, bordel ! (et autres histoires de bagnoles)

L’annonce du prochain internat de Charles-Henri m’ayant beaucoup ébranlé, j’ai cherché à reprendre le contrôle et à trouver des solutions.
Pourquoi reprendre le controle ?
Parce que j’ai regardé cette vidéo : 



mardi 24 octobre 2017

Ah merde, c'était carrément pas ce qui était prévu

Charles-Henri et moi devions nous retrouver dimanche après-midi, sous un soleil radieux. J’avais insisté pour qu’il arrive tôt, et nous nous sommes retrouvés vers 16h chez moi. J’étais zen et détendue parce que je venais d’aller nourrir les chats de mes amis médecins, et que j’avais profité d’avoir le temps pour ouvrir les bais vitrés et m’installer au soleil avec un livre, en regardant les chats faire les foufous et courir après l’automne virevoltant. Un coup de vent a fait danser une pluie de feuilles cuivrées, et j’ai eu le souffle coupé par ce spectacle enchanteur.

vendredi 20 octobre 2017

Quand la compréhension vient aux hommes

Dimanche nous allions à une réunion de l’Asso : Charles-Henri venait me chercher à mon boulot, et nous allions ensuite à Charlhenriville, rendez-vous à 19h30. En partant, il m’a dit « J’ai pas envie d’y aller. J’ai juste envie de te faire l’amour et de m’endormir dans tes bras ». Frisson délicieux : j’avais la même envie. Mais il fallait rester raisonnable, après tout cette réunion était importante – et Charles-Henri est tout de même Vice-Président.
Comme nous étions (un peu) en avance, Charles-Henri a proposé que l’on passe chez lui pour grignoter un truc.
Bien évidemment, nous avions à peine sorti un morceau de fromage du frigo qu’on se jetait l’un sur l’autre, et qu’on finissait nus. Petit speed sexe bien sympathique, mais qui nous a tout de même mis en retard. J’ai découvert avec hilarité qu’il devenait ultrasensible lorsqu’il avait jouit, et je m’amusais à me contracter autour de lui à intervalle régulier, juste pour le regarder se tortiller et sursauter à chaque fois, ses yeux fermés et son souffle court.
Nous sommes arrivés à 19h45 chez Président, rougissants et décoiffés. Dans la voiture, nous avons tout de même pris le temps de discuter de notre attitude face aux autres :
« Bon, on leur dit ? »
« Oui mais attends, on fait comment ? "On a un truc à vous annoncer, Charles-Henri et moi" ? Ca fait un peu pompeux-flippant non ? »
« Hum. Oui. Je ne sais pas »
« Sinon on fait une action d’éclat, un truc un peu provoc’ »
« Genre toi qui dit "Désolé du retard, il a pas jouit assez vite" ? »
« Ah oui, c’est bien ça, j’aime bien ! »
« C’est sale, mais ça a de la gueule ! »
« Et puis c’est un vrai coup d’éclat qui marquera les mémoires ! »

vendredi 13 octobre 2017

Mon corps et ma raison

Depuis une semaine, j’ai des maux de tête quasi tous les jours. Rien de gravissime, juste du stress : les démarches pour ma maison sont fastidieuses, et le temps commence à manquer. Je dois sans cesse relancer les artisans (pour les devis) et la banque (qui m’oublie), pendant que l’agence immobilière me relance et me met la pression en me disant qu'on n'a pas assez de temps.
Et à chaque appel de l’agence, je sens ma nuque devenir raide, et mes maux de tête empirer.

vendredi 6 octobre 2017

Bulle éphémère pour Charles-Henri et moi

Comme toujours, entre deux moments où je ne vois pas Charles-Henri, il me manque, je me languis, je doute, j’ai peur d’être trop invasive dans mes messages, et au final je me monte la tête toute seule. Je sais qu’il a des jours de congés, mais nous ne nous voyons pas. Et à part de tendres messages pour se souhaiter bonne nuit, nous communiquons peu.
(Donc je flippe).

lundi 2 octobre 2017

Metropolis, Charles-Henri, et moi.... et les autres (Ah qu'est-ce qu'on est con !)




Nous organisions une soirée avec l'Association : une projection du film Metropolis sous forme de ciné-concert, un pianiste jouant la bande-son en direct.