Mettez à profit vos connaissances télévisuelles honteuses,
et veillez à chanter le générique de « Dallas » en lisant cet
article.
mercredi 29 mars 2017
samedi 25 mars 2017
Les gars, il va falloir arrêter de nous vendre du rêve... Ou de nous prendre pour des connes / Hector à la salle de sport
On nous reproche souvent (nous : Êtres dotées de
caractéristiques en grande partie féminines), de ne pas savoir ce qu’on veut.
Je vous l’accorde, ce genre de généralités tient plutôt du
sexisme. Même si je dois bien avouer qu’à mon corps défendant, je suis la
première à être changeante. Et je ne parle même pas de la semaine avant mes
règles où je me transforme soit en bête rageuse, soit en pleurnicheuse
inconsolable.
J’aimerais toutefois dire un truc : ok les mecs, on
sait peut-être pas toujours ce qu’on veut, on change d’avis, on a nos humeurs
et on fait chier… Mais merde. Et vous ?! Arrêtez de dire des trucs sans réfléchir, bordel.
jeudi 23 mars 2017
Sociologie de la Greluche : Une histoire de territoire
C’est assez amusant de voir qu’au dernier cours de sport,
le-mec-de-la-salle n’était pas là. Mais sa greluche, si (à chaque séance, je me fais à l’idée
qu’on fait les mêmes cours).
vendredi 17 mars 2017
Des nouvelles d’Hector / Des questions, toujours des questions
J’étais
partie 5 jours dans ma famille, et je me suis aperçue qu’Hector me manquait. Ses
messages succincts « pour ne pas me déranger », me frustraient plus
qu’autre chose.
Je me suis
aperçue que j’avais oublié l’odeur du mec-de-la-salle-de-sport. Et je pense que
je ne lui rouvrirai pas mes bras s’il venait à revenir vers moi. La seule
réponse possible, s’il m’envoie un message, c’est forcément « Excuse-moi,
qui est-ce ? ». N'est-ce pas ?
Mais je ne
dis pas que je suis guérie.
Loin de là.
mercredi 15 mars 2017
7 ans de médecine
Il y a 2
semaines, j’ai passé une après-midi avec une migraine terrible. Lorsque je suis
rentrée du boulot, je me suis couchée. Sauf que le lendemain matin, j’étais
toujours aussi mal. Ni les médicaments, ni ma bouillotte (d’habitude miraculeuse)
n’en étaient venu à bout. En plus je n’avais aucun appétit – je suis comme les
animaux : si je ne mange plus, il faut s’inquiéter. Du coup j’ai foncé
chez le vet… chez le médecin.
Je suis
tombée sur un médecin d’astreinte (car nous étions samedi). Un bonhomme un peu
lourd et un peu simplet qui m’a fait m’interroger sur la triche en école de médecine.
Son diagnostic : je dois arrêter d’aller chez le kiné, parce que (je cite) "Là c'est un problème de cervicales", et reprendre la
pilule, parce que j'avais mes règles au même moment et que c'était surement lié. Dans sa grande mansuétude, il m’a tout de même prescrit de l’ibuprofène.
Merci, au
revoir.
samedi 4 mars 2017
La greluche du mec-de-la-salle-de-sport
Jeudi à la salle, j'avais prévu de ne
faire qu’un seul cours – celui où je ne verrais pas le mec-de-la-salle et sa
greluche.
Je ne me sentais pas encore assez prête pour faire face,
après le cours de la semaine dernière. D'autant plus qu'Hector ne comptait pas venir.
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