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Ces quelques références (non exhaustives) m’ont aidés à aller un peu moins mal, ou au moins à m’accrocher à quelque chose pour sortir un petit peu la tête de l’eau.
Ces quelques références (non exhaustives) m’ont aidés à aller un peu moins mal, ou au moins à m’accrocher à quelque chose pour sortir un petit peu la tête de l’eau.
Des livres :
Chagrins d’amour : Souffrir, Mieux se connaitre et renaitre / Frédérique Hédon
Résumé : Un adulte sur quatre connaîtra un chagrin d'amour au cours de son existence. La souffrance causée par la fin d'une relation amoureuse, la perte des illusions et l'abandon font partie de toute destinée sentimentale. Comment vit-on un chagrin d'amour ? Quels sentiments enfouis réveille-t-il ? Quelles émotions fait-il naître ? Comment sortir de sa tristesse et de sa solitude et retrouver le goût d'aimer ? Riche de témoignages, ce livre explore, au fil des âges et des situations de la vie, toutes les nuances du chagrin d'amour. Il analyse ses conséquences sur le psychisme et ouvre des perspectives vers un mieux-être et une redécouverte de soi. Car, il convient de se rappeler, qu'envers et contre tout, il vaut mieux souffrir un temps d'avoir aimé que souffrir de n'avoir jamais aimé
Résumé : Un adulte sur quatre connaîtra un chagrin d'amour au cours de son existence. La souffrance causée par la fin d'une relation amoureuse, la perte des illusions et l'abandon font partie de toute destinée sentimentale. Comment vit-on un chagrin d'amour ? Quels sentiments enfouis réveille-t-il ? Quelles émotions fait-il naître ? Comment sortir de sa tristesse et de sa solitude et retrouver le goût d'aimer ? Riche de témoignages, ce livre explore, au fil des âges et des situations de la vie, toutes les nuances du chagrin d'amour. Il analyse ses conséquences sur le psychisme et ouvre des perspectives vers un mieux-être et une redécouverte de soi. Car, il convient de se rappeler, qu'envers et contre tout, il vaut mieux souffrir un temps d'avoir aimé que souffrir de n'avoir jamais aimé
Un livre à la couverture assez moche je l'admet, mais que j'ai trouvé parfait : riche, indulgent et rassurant. Les
situations décrites sont presque scientifiques : liste des symptômes,
violence des ressentis et des émotions.
Je me suis retrouvée dans les descriptions ou les
témoignages, j’ai retrouvé ce que je vivais, que ça aille des crises d’angoisse
à la perte de poids, ou au rejet total de l’autre. L’auteure dédramatise ce qui
peut paraître effrayant, et évoque même les neurosciences – et personnellement,
« rationaliser » mes ressentis à travers leur aspect scientifique m’a
fait un bien fou. Comme si quelqu’un me disait effectivement « Là ton
cerveau est malade car il a été choqué, et ça va aller mieux ».
L’auteure explique d’ailleurs qu’une rupture brutale est l’équivalent
psychologique d’un stress post-traumatique – sauf qu’on a des aides psychologiques
en cas d’accident, mais pas en cas de rupture, alors que la violence est la
même…
Des histoires d’amour au sens large (filiale, amoureuses, à sens unique,…), mais qui ont en commun d’être cruelles et réalistes : la première nouvelle, c’est l’histoire d’une mère qui doit « choisir » entre sa fille qui accuse son père de viol, et son mari qui nie tout en bloc. Ca annonce la couleur. Il y a l’histoire d’une chanteuse qui, malheureuse dans sa vie et dénuée d’admirateur, se fait envoyer un bouquet à elle-même chaque semaine, ou une jeune fille qui avorte d’un homme marié et qui se retrouve dans une salle d’hopital avec une vingtaine d’autres femmes qui avortent où font une fausse couche et toutes ont des histoires à pleurer. Bref, le message est toujours « Mieux vaut être seule que mal accompagné », et il dépeint de façon réaliste la condition des femmes.
Actuellement, je préfère lire ce genre d’histoire et me
sentir moins seule, et peut-être même privilégiée par rapport à d’autres,
plutôt que des romans qui finissent en Happy End. Les Happy End n’existent pas, ce ne sont juste que le début d'autres histoires (qui finiront peut-être mal), et je n’ai pas besoin de me bercer d’illusions.
Résumé : Claire, infirmière trentenaire, voit défiler ses relations amoureuses en désespérant de construire un couple, le vrai, le bon, l'idéal. En choisissant de vivre avec Franck, elle croit enfin y être arrivée.
Mais la réalité standardisée de ce qui l'attend n'est pas à la hauteur...
Là encore, le message sera « Mieux vaut être seule que mal accompagné ». Je l’avais lu il y a quelques mois en le trouvant très intelligent (et, là encore, réaliste et nécessaire), je me suis dit que c’était le moment de le relire de toute urgence.
Mais la réalité standardisée de ce qui l'attend n'est pas à la hauteur...
Là encore, le message sera « Mieux vaut être seule que mal accompagné ». Je l’avais lu il y a quelques mois en le trouvant très intelligent (et, là encore, réaliste et nécessaire), je me suis dit que c’était le moment de le relire de toute urgence.
Des vidéos :
Ce n’est pas la première fois que j’en parle, mais je renouvelle mon amour pour la chaine Youtube « Et tout le monde s’en fout ». Ces vidéos ont, à leur échelle, changés ma vie, et si un jour ces youtubeurs passent près de chez moi, j’irais certainement leur témoigner toute ma gratitude.
Plus particulièrement :
J'en ai déjà parlé ici, la vidéo sur Les émotions (ou comment comprendre et accepter sa tristesse comme un message de son cerveau)
L’estime de soi :
Message spécial à cette phrase : « Tu trouves ça pertinent de flipper d'un truc qui n'existe pas en te fondant sur un truc qui n'existe plus ? » qui m'a bouleversée et m'a beaucoup fait pleurer, car c'est un peu l'histoire de mes crises d'angoisse.
Message spécial à cette phrase : « Tu trouves ça pertinent de flipper d'un truc qui n'existe pas en te fondant sur un truc qui n'existe plus ? » qui m'a bouleversée et m'a beaucoup fait pleurer, car c'est un peu l'histoire de mes crises d'angoisse.
Le bonheur :
Parce que cette vidéo me semble tout à fait complémentaires des deux autres.
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