vendredi 13 avril 2018

Mon premier cours de Pole Dance


Prise dans une frénésie d’actions, d’envie de nouveautés au sens large, je me suis lancée dans de nouvelles choses.
Eeeeet…. j'ai voulu tenter de nouvelles expériences également.

Idée numéro 1 : Faire une initiation de Pole Dance.


Je ne suis pas une très grande fan de cette discipline, que je trouve un poil trop suggestive, voire vulgaire ; si ça devient à la mode, je trouve ça quand même carrément connoté.
Mais j'ai beaucoup entendu dire que c'était difficile, j'ai aussi entendu que c'était assez incroyable, « qu'on avait l'impression de voler », et puis tout le monde en parle et je voulais me faire une idée, et aller au-delà de mes préjugés. 
En plus j'ai trouvé un stage à 20€, je cherchais un peu de nouveaux défis à relever, alors j'ai dit « JACKPOT, c’est maintenant ! ».

En plus en Pole, il faut être très dévêtue - car c'est la peau qui accroche la barre -, donc j'ai dû faire péter le mini short et la brassière.
Mais en fait vous savez quoi ?
J'ai repris le sport en intensif, j'ai récupéré des muscles, et je crois que je commence à kiffer mon body. En tout cas j'étais super détendue en mini short, ce qui n’était visiblement pas le cas des autres filles qui étaient rougissantes en legging.
Et là je me suis dit « Wooookay, je pense que je vais mieux ».

Je passe sur le fait que je suis arrivée en retard parce que je m'étais fait interpeller par la gendarmerie en roulant à 70 km au lieu de 50 - je m'en suis miraculeusement tiré sans PV, peut-être parce qu'ils ont dû s'excuser d'avoir voulu m'arrêter en pensant que j'avais des faux-papiers, tout ça parce que leur logiciel buguait.
(Un grand moment).

Et donc la Pole, c'est SUPER DUR.
La prof a dit « il y a 1h30 de stage, faites des pauses c'est super important », et j'ai ricané dans ma barbe « Hey cocotte, je suis super sportive, ton cours d'1h30, je le ferais chaque seconde ! ».
Ce que j'ai fait.
Je n'étais pas spécialement très gracieuse.
Je n'étais pas non plus très douée.
Mais j'ai réussi une ou deux figures, et j'étais plutôt fière de moi.
Je suis repartie sans me sentir vidée, même si je sentais que je n'arrivais plus à monter mes jambes sur la barre.
J'ai admis que c'était beaucoup plus dur que je pensais, et que malgré mes quelques heures de muscu par semaine, j'en chiais un max (ça m'apprendra à faire la maline).
Le lendemain, je me suis dit « J'ai des courbatures, mais franchement, ça va ».
Et puis « Hé ! Mais j'ai des courbatures à des endroits où j'ai jamais eu de courbatures ?! J'ai sérieusement des muscles ici ?! Trop cool ! ».
Avant de conclure : « Attends... Une discipline super difficile.... Des courbatures inattendues.... JACKPOT ! Je prends une carte ! »
Le surlendemain, les vraies courbatures sont arrivées (oui, moi j'ai deux jours de délai).
J'avais tellement mal que ça me réveillait la nuit, et que je devais me masser pour calmer la douleur et me rendormir.
Je me suis donc dit : « TROP COOL ! J'ai bien fait de prendre une carte ! »
Je me suis aussi dit « Hum, peut-être que j'aurais dû écouter la prof et me ménager des pauses ».

Je passe sur le fait que c'est pile sur ces jours-là que, remontée à bloc, j'ai décidé de sortir mon lave-vaisselle de mon chiotte-cuisine pour commencer à aménager un peu ma vraie cuisine.
Que j'ai assemblée des meubles.
Que j'ai portée des trucs lourds.
Que j'ai augmenté mes poids au sport.
Bref, j'étais une vieille arthritique souffreteuse qui gémissait à chaque geste, mais j'étais putain de vivante.
Et j'avais grave envie de continuer comme ça.
#testonsdenouvelleschoses

Ensuite, il y a eu la Saint Valentin... Et la Boxe Thaï... (à suivre !)

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