Je me suis trompée :
J'ai pensé que je devais travailler seule dans ma maison, que je devais reconstruire ma tête, mon corps et mon coeur uniquement par mes propres moyens. Que c'était la condition sine qua none à ma "convalescence affective".
J'ai voulu repousser les autres : non, maman, ne vient pas m'aider, je dois le faire seule ! (en l'écrivant, je m'aperçois que cette phrase pourrait être dite par un enfant)
"Si les autres m'aident, ce n'est plus pareil, c'est que j'ai échoué, c'est que je ne suis pas assez forte".