L'entrée du Club est du genre porte blindée et sonnette.
vendredi 21 décembre 2018
Soirée en Club Libertin (2/2)
Première partie : Soirée en Club Libertin (1/2)
L'entrée du Club est du genre porte blindée et sonnette.
L'entrée du Club est du genre porte blindée et sonnette.
vendredi 14 décembre 2018
Soirée en Club Libertin (1/2)
Je suis partie du postulat suivant : je suis très déprimée, au point de ne plus avoir réellement envie de vivre.... Alors c'est peut-être l'occasion de sortir la liste de "tout ces trucs que je dois faire avant de mourir" ?
Peut-être qu'ainsi, je vais réapprendre à aimer la vie ?
Cette fois-ci, j’ai voulu m’attaquer à une curiosité, un fantasme : Quid des soirées libertines ? Des orgies ? Du sexe libre et assumé ?
mercredi 5 décembre 2018
Et démissionner de l'Association
Suite à mes états dépressifs assez profonds, je suis suivie de près par une psychologue. Si nos premiers contacts m'ont laissés dubitative, et peut-être un poil haineuse ("cette femme n'a aucune empathie. Je crois qu'elle me hait. Je suis sûre qu'elle me juge. Je pense que je vais arrêter"), il s'avère en fait que cette femme n'a peut-être pas d'empathie, n'a certainement aucune pitié, est absolument tyrannique et m'oblige à me confronter à mes pires failles, mes hontes, mes traumatismes. Et elle ne me laisse pas ressortir tant que je n'ai pas été au bout des choses.
Bref : je l'aime.
Mais cette thérapie est un putain de chemin de croix quand même.
lundi 26 novembre 2018
Soirée gay sur fond de fin de mondes
J'arrive avec une grosse heure de retard au bar gay où l'on se retrouve à chaque fois, mes amis et moi. Ça fait de nombreux mois qu'on ne s'est pas vu.
- Désolée du retard, j'ai profité d'être dans cette ville pour vendre ma chaise Ikéa que j'avais mise sur Le Bon Coin, et j'ai poireauté une demi-heure sur un parking sombre parce que je n'arrivais pas à joindre mon acheteuse - ça coupait chaque fois que j'appelais, genre comme si elle m'avait bloquée... Et en fait elle s'était gouré en me donnant son numéro, donc je harcelais un parfait inconnu qui, quelque part en France, est terrorisé par cette folle qui l'attendait sur un parking sombre à 22h avec une chaise de bar Ikéa.
- Ça ne te serait pas arrivée si tu avais des meubles Roche Bobois, pétasse !
jeudi 15 novembre 2018
Commerciaux à la con
Il y a le Commercial qui est ouvertement sexy et sûr de lui. Et puis il y a cette nouvelle tendance du Commercial-Nounours, qui joue la maladresse, la confidence et les compliments. Il tente de se rendre touchant, il est super sympathique et parfois un poil séducteur.
Très répandu en agence immobilière et dans les Sociétés de Services, cette population aime utiliser les termes "On ne va pas se mentir", et autre "Je vous comprends".
samedi 10 novembre 2018
Bonjour dépression, ma plus fidèle ennemie
Ça a commencé à mon retour du Brésil. Après le silence de Miguel, que je ne comprenais pas (ou que j’avais peur de comprendre), le brouhaha incessant de mes doutes, de mes peurs, de mes pensées.
Le retour à une situation trop familière : la déception,
l’incompréhension, le sentiment d’abandon, les conclusions qui
semblent s’imposer d’elles-mêmes. La
tristesse, le chagrin, puis la rupture qu’il faut digérer et surmonter.
vendredi 9 novembre 2018
vendredi 19 octobre 2018
Adieu été, Adieu Brésil, Adieu Miguel
Miguel était à l’hôpital.
J'ai appris ça brutalement par une notification Facebook, et j’ai soudain cru comprendre que son silence n’était pas dû à moi, mais plutôt à un accident, voir une catastrophe. Quel égoïsme de ma part ! Alors qu’il était à l’hôpital, peut-être blessé ? Très malade ? Ou même dans le coma ?!
J'ai appris ça brutalement par une notification Facebook, et j’ai soudain cru comprendre que son silence n’était pas dû à moi, mais plutôt à un accident, voir une catastrophe. Quel égoïsme de ma part ! Alors qu’il était à l’hôpital, peut-être blessé ? Très malade ? Ou même dans le coma ?!
lundi 8 octobre 2018
Soirée à L'association avec mon Ex, sa Meuf, et une folle envie de tout nettoyer
Après la dernière réunion, je n'avais aucune envie de participer à quoi que ce soit - dans l'ensemble de toute façon, mon état d'esprit était plutôt sur la case "Je ne veux parler à personne, laissez moi seule je veux rentrer chez moi" du Monopoly de la vie.
Mais je m'étais engagée, on avait une animation où l'on attendait dans les 150 personnes, et je ne voulais pas planter les autres.
C'était un samedi, j'avais enchaîné 9h de boulot (après une nuit d'environ 4h et une inondation chez moi pour cause de pluies trop abondantes sur les coups de 6h du matin) avant de rentrer, accueillir des locataires qui venaient loger chez moi en Airbnb, enfiler une robe, des escarpins, commencer à essayer de me maquiller, avant de renoncer devant la largeur de mes cernes, et filer 70km plus loin pour une soirée chic-cocktail.
Bref, dès le début, je sentais que je mettais toutes les chances de mon côté.
jeudi 27 septembre 2018
Message de mon ex
Il était aux alentours de 19h, je collais des photos dans mon album photo de la Nouvelle Orléans, en me disant « Je suis heureuse d'avoir déjà fait la partie avec Miguel » (où j'ai écrit derrière les photos "Je suis amoureuse de lui", avant de les coller et personne n'en saura jamais rien à part moi), je pleurais un peu, et je me demandais si j'allais faire un album photo du Brésil - Correction : si j'étais capable de faire ça.
Je venais de voir que Miguel ne m'avait pas écrit, pas plus que le jour d'avant, ni le jour d'avant, ni le... Bref, je me disais « C'est terminé, vis avec ». Et je pleurais.
Quand j'ai reçu un texto :
lundi 10 septembre 2018
Mademoiselle B. sous LSD
Dans la liste des choses les plus incroyables que j'ai pu faire dans ma vie (liste que j'ai découvert avoir dressée mentalement malgré moi), prendre du LSD est clairement arrivé au sommet de mes expériences.
lundi 3 septembre 2018
dimanche 26 août 2018
Je suis partie au Brésil retrouver un homme que je connaissais à peine : Conclusions
Ce qu'il reste du Brésil |
Bon, ce n'était plus tout à fait pareil : plus autant de
tendresse, plus autant de petits surnoms. Mais un peu plus de "Private
joke". Et de « te souviens-tu... ? ».
Parfois, il m'appelait "Little Chupacabra".
Dans l'ensemble, je me demandais ce qu'il se passait, ce
qu'il ressentait. Et ça me bouffait.
Quid d'une suite ?
Quid d'un avenir entre nous ?
lundi 20 août 2018
Intermède à l'Association [Ce qu'il reste de moi après le Brésil]
Après le Brésil, les jours se sont enchaînés. Le quotidien s'est remis en place, insupportable.
Miguel a continué de m'écrire.
J’ai passé deux semaines épouvantables, perdue, à haïr ma vie, mon quotidien retrouvé. A pleurer au Supermarché en voyant les étiquettes « Mangues du Brésil ». A avoir le cœur qui bat à la mention de ce pays.
Chaque barbu croisé dans la rue me faisait sursauter : « Miguel ?! »
Chaque barbu croisé dans la rue me faisait sursauter : « Miguel ?! »
Le pire a été lors d’une réunion de l’Association.
mardi 14 août 2018
mercredi 8 août 2018
jeudi 2 août 2018
Je suis partie au Brésil retrouver un homme que je connaissais à peine (5/7) : Let it be
Je suis partie au Brésil retrouver un homme que je connaissais à peine (1/7) : Revoir Miguel
Je suis partie au Brésil retrouver un homme que je connaissais à peine (2/7) : Quand des enfants sauvent la journée
Je suis partie au Brésil retrouver un homme que je connaissais à peine (3/7) : Chapada Dos Veadeiros
Je suis partie au Brésil retrouver un homme que je connaissais à peine (4/7) : Ambivalences
Je suis partie au Brésil retrouver un homme que je connaissais à peine (2/7) : Quand des enfants sauvent la journée
Je suis partie au Brésil retrouver un homme que je connaissais à peine (3/7) : Chapada Dos Veadeiros
Je suis partie au Brésil retrouver un homme que je connaissais à peine (4/7) : Ambivalences
vendredi 27 juillet 2018
Je suis partie au Brésil retrouver un homme que je connaissais à peine (4/7) : Ambivalences
Je suis partie au Brésil retrouver un homme que je connaissais à peine (1/7) : Revoir Miguel
Je suis partie au Brésil retrouver un homme que je connaissais à peine (2/7) : Quand des enfants sauvent la journée
Je suis partie au Brésil retrouver un homme que je connaissais à peine (3/7) : Chapada Dos Veadeiros
Je suis partie au Brésil retrouver un homme que je connaissais à peine (2/7) : Quand des enfants sauvent la journée
Je suis partie au Brésil retrouver un homme que je connaissais à peine (3/7) : Chapada Dos Veadeiros
samedi 21 juillet 2018
lundi 16 juillet 2018
mardi 10 juillet 2018
Je suis partie au Brésil retrouver un homme que je connaissais à peine (1/7) : Revoir Miguel
Ça aurait pu être juste une histoire d'une nuit. Mais il m'a écrit. Et nous sommes restés en contact. Alors je me suis dit : et si.... ?
lundi 18 juin 2018
Miguel : Et ensuite...
Ça aurait pu être une nuit sans lendemain.
J'ai cru que ce serait ça. Les "On se rappelle ?", j'ai passé l'âge d'y croire.
Et pourtant il m'a écrit.
jeudi 14 juin 2018
lundi 11 juin 2018
Voyage à La Nouvelle Orléans (7/8) : jeudi et vendredi
Jeudi, au lendemain de mon incroyable
nuit avec Miguel, je déprimai sincèrement.
Mon binôme s’était levé de mauvaise
humeur, prenant ses affaires et quittant la chambre sans un mot.
J'ai supposé qu'il n'avait pas apprécié
que je rentre tard.
Ou alors c'était parce que je n'avais
pas mis le réveil - oui, il n'avait pas de réveil non plus, et comptait sur moi
pour ça.
Moi j'avais besoin de raconter mon
histoire, mon mélange de joie et de détresse, et je me suis retrouvée
seule.
Cela dit, avec le recul, il valait mieux
que je n'en parle pas avec lui (qui pense qu'une femme qui a une sexualité est la dernière des salope).
Je suis sortie prendre mon petit
déjeuner dans la cour de l'auberge, en me sentant franchement comme une merde,
avec la folle envie de repartir, de rentrer chez moi, de me coucher dans mon
lit avec mon chat et mes états d'âme - et là, les vieux démons remontent :
Personne ne me parle, je n'arrive a rien, je ne suis qu'une petite fille
effrayée.
Personne ?
Absolument pas : Glenn est arrivé sur
ces entrefaites, m'a fait un hug, et a discuté avec moi. Et dans la foulée,
aussi facilement que ça peut l'être aux usa - ou peut être dans les auberges de
jeunesse, ou peut être juste quand on arrête de se poser des questions - j'ai
rencontré de nouvelles personnes, et je les ai suivi pour un petit tour
touristique.
Il y avait Stuart, un artiste anglais, Glenn,
une indienne, et une Ukrainienne.
La journée était affreusement chaude. Le
soleil nous tapait dessus, et je sentais ma peau chauffer. Stuart, qui était
aussi blanc que moi, m'a filé un peu de son écran total. Et il a préféré
rentrer, pendant que nous repartions vers le centre.
L'une des pires idées de mon
séjour : J'étais déjà moyennement dans mon assiette, et la chaleur m'écrasait.
Mais surtout, je n'avais pas encore réalisé que j'étais avec une accro
compulsive du selfie.
Arrivés au centre-ville, j'ai voulu
les emmener boire un verre - déjà parce que je crevais de soif.
On a mis 1h30 pour faire 400
mètres.
UNE PUTAIN D'HEURE ET DEMIE.
Tous les deux pas, l'indienne (dont je
serais incapable de retranscrire le nom, malheureusement) faisait un
selfie. Mais pas elle toute seule hein : non, avec nous quatre à
chaque fois. A CHAQUE FOIS. Et pendant cette heure et demi, on grillait
en plein soleil, et je commençais à me sentir de plus en plus mal.
Sans compter mon envie de la tuer
lorsqu'elle a dit « Oh, oui, c'est plus fort que moi, je fais des
milliers de photos, tout le temps. Et en fait, je ne les regarde jamais
après ! Ahahahah ! »
J'ai fini par aller m'asseoir à l'ombre,
parce que je ne tenais quasi plus debout. Je me sentais vraiment très mal – et
j'avais tellement soif, bordel ! Je voulais juste un jus de fruits, on était à
côté du café, mais elle faisait encore des photos, sans rien regarder, et je me
disais « on y arrivera jamais ».
Glenn m'a regardé, il a eu l'air
très très inquiet. Il a récupéré les deux filles, et a dit que je
devais absolument m'asseoir au frais et boire et manger quelque chose.
Après cette pause (où l’indienne s’est littéralement
recouvert le visage de sucre glace pour prendre un « selfie rigolo »),
j'avais juste envie de rentrer.
Evidemment, ça a repris 1h.
Je n'en pouvais plus.
Je suis partie poser mes affaires près
de la piscine.
J'ai vérifié mes messages – évidemment, Miguel n'avait pas écrit.
Evidemment, c'était une histoire
d'une nuit – qu'importe si celle-ci semblait être tellement
plus.
« Tu sais que ça ne peut pas être
de l'amour, n'est ce pas ? », me rabroue avec bienveillance Copine#1 à qui
j'écris en renfort.
Et puis je me suis souvenue que
l'écriture me faisait du bien – alors j'ai commencé à écrire.
Le soir, j'ai réussi à renouer un
semblant de dialogue avec mon binôme. Puis j'ai passé un peu de temps
dehors, sur le perron de l'auberge. J'ai discuté avec Frank, Mitsy, Eric.
J'ai rencontré un américain dont je n'ai pas réussi à saisir le nom –
son accent était tellement fort que je l'ai cru anglais. Il m'a ri au nez :
« I love money, sex and god. I'm a fucking american !! ».
J'ai ensuite rencontré Bernardo,
mexicain qui était là pour un congrès sur le climat.
Bref, une petite soirée très
sympathique... Mais où clairement, je sentais que j'avais de plus en plus de
mal à comprendre – il était temps que j'aille dormir !
J'ai continué à écrire avant de me
coucher.
Le lendemain, ça allait un petit
peu mieux avec mon binôme. On a convenu d'aller manger ensemble
au Hard Rock Café, et qu'ensuite on irait vadrouiller chacun de son
côté.
Je me suis dit qu'on trouvait seulement
maintenant notre façon de fonctionner.
J'ai été faire "Magazine Street", réputée pour
ses magasins, notamment ses friperies. Sauf qu'en réalité, cette fichue rue
faisait 10 km. Avec des endroits pleins de boutiques, mais aussi de longs
espaces pavillonnaires où il n'y avait rien à voir. Au bout de 6km,
j'ai jeté l'éponge : j'étais crevée, le ciel devenait franchement grisonnant,
et j'en avais marre. J'ai fait une pause d'une petite demi-heure dans un parc,
et je suis rentrée.
Bon, très honnêtement, je me suis
un peu perdue, et je suis passée par des endroits totalement dévastée et
vraiment flippant. J'ai traversé des zones carrément abandonnées. Je n'en
menais pas large, j'avais le dos trempé de sueur froide, et je priais
pour ne pas me faire agresser.
Heureusement,
j'ai retrouvé mon chemin, et il ne m'est rien arrivé. A part d'avoir
eu une sacrée frousse.
Je me suis posée à l'auberge, sur un
siège dans le salon. Eric est passé me dire bonjour. J'ai continué de
taper mon texte, terminant de raconter ma nuit.
2h54 (heure française).
C'est l'heure à laquelle je me suis
envoyé ce texte par mail (parce que je n'avais pas encore compris comment
fonctionnait One Note)
C'est
précisément à cette même heure que je recevais un mail me notifiant
un message de Miguel.
J'ai lu, et relu, re-relu son
message.
Il m'avait écrit !
Et toute ma tristesse de ces deux
derniers jours s'est envolée.
Frank est venu me chercher « Hé,
c'est Storytime ce soir ! Viens avec nous ! ».
Tout le monde était réuni dehors, et,
chacun son tour, racontait une anecdote qu'il avait vécu.
Entre rires et larmes, nous sommes
passés de l'histoire de Stuart, anglais, qui avait fait l'amour si longtemps et
brutalement que son pénis avait viré au noir... Et que tout
l’hôpital était venu voir ça et rire, pendant que lui se demandait s'il
allait voir son pénis tomber, à un récit très poignant de Mitsy, nous racontant
comment elle avait vécu les attentats de Manchester, finissant par nous lire un
poème qu'elle avait alors écrit sous le coup de l'émotion, et qui nous a tous
fait pleurer.
Il y a eu l’histoire d'Eric, qui
s'est retrouvé coincée dans une coulée de boue pendant des heures et
qui a cru mourir.
Ou celle de Pauline, qui, un jour de
manifestation étudiante, est tombée, son tee-shirt s’arrachant au passage et la
laissant nue et pantoise devant tous ses profs et chefs d’université – qui ont
eu la délicatesse de ne pas rire.
Ensuite nous sommes tous sorti au centre-ville,
et je me suis fait alpaguer par des geeks bossant chez Facebook ('scuse) qui,
sous prétexte de vouloir pratiquer leur français, m'ont traînés dans
des bars où je ne voulais pas aller, et m’ont entraînés loin du reste du groupe
– alors que c'était avec eux que je voulais passer ma soirée. Ils étaient
méprisants, imbu d’eux même, et j'étais extrêmement mal à l'aise.
Pire, j'ai reconnu des coins que
j'avais visité avec Miguel - quelle horreur, de retrouver ces endroits
magiques accompagnés de ces trois prétentieux !
J'ai réalisé beaucoup trop tard qu'ils étaient
complètement défoncés ; je ne m’en suis aperçu que lorsque l'un deux a
manqué tomber sous les roues d'une voiture. Ils ont décidé de prendre un taxi
pour rentrer, et durant tout le trajet, la fille du groupe, assise à côté de
moi, avait des hauts le cœur qu'elle ravalait lentement, pendant que
je me disais « pourvu qu'elle ne me gerbe pas dessus ».
J’ai retrouvé l’auberge et mon lit avec
soulagement - bien que très déçue de cette soirée désagréable.
jeudi 7 juin 2018
Voyage à La Nouvelle Orléans (6/8) : Miguel
Oh, voici une sacrée histoire. "A big deal" comme les américains disent.
Mon cœur y est encore.
lundi 4 juin 2018
Voyage à La Nouvelle Orléans (5/8) : Mardi et Mercredi, et soirée avec Glenn
Le lendemain de ma nuit avec Chris, mon binôme a été petit déjeuner seul.
Du coup
lorsque je me suis levée, j’ai été, à mon tour, petit déjeuner seule.
Mais ça
allait : j’ai embarqué un livre, je me suis fait un porridge avec des
fruits frais et une infusion d’hibiscus, et j’étais au top.
Chris m’a
rejoint. On a discuté. Je ne savais pas comment agir avec lui. Est-ce que je
peux avoir des gestes d’affection ? Est-ce que c’était une histoire d’une
nuit ?
Finalement,
on a juste bavardé.
jeudi 31 mai 2018
Voyage à La Nouvelle Orléans (4/8) : Lundi en solo et rencontre avec Chris
lundi 28 mai 2018
Voyage à La Nouvelle Orléans (3/8) : Les premiers jours avec mon binôme + Wrestlemania
Voyage à La Nouvelle Orléans (1/8) : Premières impressions
Voyage à La Nouvelle Orléans (2/8) : L'arrivée aux USA
Les deux premiers jours se sont plutôt bien passés – enfin, pas trop mal : mon compatriote et moi sommes partis à la découverte de La Nouvelle Orléans à pieds, abattant dans les 15 km par jour à chaque fois. Le temps était agréable : il devait faire une vingtaine de degrés. Le premier jour, nous avons arpentés les « coins à touristes », et fais quelques emplettes.
Voyage à La Nouvelle Orléans (2/8) : L'arrivée aux USA
Les deux premiers jours se sont plutôt bien passés – enfin, pas trop mal : mon compatriote et moi sommes partis à la découverte de La Nouvelle Orléans à pieds, abattant dans les 15 km par jour à chaque fois. Le temps était agréable : il devait faire une vingtaine de degrés. Le premier jour, nous avons arpentés les « coins à touristes », et fais quelques emplettes.
jeudi 24 mai 2018
Voyage à La Nouvelle Orléans (2/8) : L'arrivée aux USA
Voyage à La Nouvelle Orléans (1/8) : Premières impressions
Le décalage horaire était tel que nous arrivions peu de temps après être partis – alors qu’en réalité, il s’était écoulé 16h.
Le décalage horaire était tel que nous arrivions peu de temps après être partis – alors qu’en réalité, il s’était écoulé 16h.
lundi 21 mai 2018
Voyage à La Nouvelle Orléans (1/8) : Premières impressions
Ce voyage que j'attendais tant s'achève... Me revoilà à
la maison, mon chat sur les genoux, deux semaines plus tard... Et l'impression
qu'il s'est écoulé des années.
Pour résumer ?
J'ai eu des hauts et des bas, je ne me suis pas
toujours entendu avec mon co-voyageur,
j'ai été extrêmement déçue par les USA, j'ai ressenti beaucoup d'émotions, j'ai
rencontré un tas de gens, j'ai eu le sentiment de vivre, vivre, vivre si fort.
J'ai adoré parler anglais, je me suis très bien intégrée, j'ai ri, j'ai un peu
pleuré, j'ai baisé, je suis tombée amoureuse, j'ai vécu des moments
inoubliables...
Oui, en seulement 10 jours.
Peut-être mon angoisse de l'avion m'a-t-elle poussée à
vivre chaque instant comme le dernier ?
Quoiqu'il en soit, j'ai des milliers de choses à raconter !
#Teasing
#Teasing
vendredi 18 mai 2018
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